Tatiana ◊ Et c’est pour ça que les hommes sont mieux payés que les femmes ?

CHAPITRE PREMIER ;
plongez dans mon âme


chamallow

Oui j’aime lire, écrire et travailler mes cours cela vous dérange ? Moi pas du tout et puis c’est pratique pour être dans les bonnes grâces des professeurs vous savez. Oui bon d’accord je veux bien dire qu’il n’y a pas que cela dans la vie, mais si moi cela me plait en quoi cela peut-il vous déranger étant donner que c’est ma vie et non la votre. Alors vous n’avez rien à dire, je fais ce que je veux quand je veux. Enfin oui c’est normal après tout. J’ai dix-neuf ans et il est l’heure que je fasse le bilan de ma vie. Je suis de sang pur et vous savez quoi cela me fait le même effet que si j’étais née moldue, j’en suis totalement indifférente, une partie de ma personnalité d’ailleurs. L’indifférence est sans aucun doute une part de moi-même important dans ma façon de vivre, je vois le monde avec cette vision que l’un de mes amis ne soit pas de sang pur, et alors ? Je suis censée être méchante avec ? Non mais vous rêvez, je ne serais pas méchante avec mes amis bien au contraire, peu importe leur origine, cela n’a aucune importance. Vous avez quelque chose à me dire, n’hésitez pas je ne vous mangerais pas, je préfère la franchise au cachotteries, c’est plus agréables et tellement moins ennuyeux. Au moins on apprend ainsi les choses par la personne qui le pense et non pas des ragots totalement idiots. Qu’est-ce que je ne supportes pas les on-dit. Je n’ai jamais aimé cela, et je n’aimerai sans aucun jamais non plus. Je préfère être franche avec les autres et ne connaître que la partie de leur vie qu’il veuille nous dire, et non des choses imaginés par des sombres idiots.

chamallow

CHAPITRE SECOND ;
mélancolie enfantine



© oh-candie lj; just_delicious lj; garden_of_aloe lj

L’enfance n’est-elle pas la période la plus belle d’une vie ? L’insouciance, l’amour que l’on peut avoir, et surtout la naïveté que la plupart des enfants ont tout cela pour pouvoir vivre leur liberté. C’est sans aucun doute le moment de la vie ou l’on peut le plus facilement profiter de cette notion qu’est la liberté, du moins si vous parents vous laisses vivre tranquillement. Dans notre famille, les Looridsen tout se passait parfaitement bien, tout du moins pour une famille de sang purs ils sont tolérant vis-à-vis du choix de nos connaissances. Tant que nous sommes heureux, c’est en aucun doute le principal pour eux. Matthias est moi sommes leurs seuls enfants, tout du moins biologique, puisque nous avons accueillis un jeune homme, Maxendre, pour le coup ont est plus des jumeaux mes des triplés je dirais. Ayant tous les trois le même âge, pour Matt et moi c’est normal puisque nous sommes nés ensemble. Enfin le même jour quoi. Il n’était pas rare de me voir scotchée à lui quand nous étions enfant, tout simplement parce que je sais qu’au fond de moi je l’aime et puis à cet époque il est plus facile d’aimer une personne qui nous ressemble ou non. « Mattie ?? » Oh je devrais peut être pas le dire le pauvre il va avoir honte non ? Et puis c’est pas si grave que çà c’est son surnom après tout. Enfin celui que je lui avait donné lorsque nous étions enfants. C’est normal entre frère et sœur de faire cela donc, il n’a rien à dire, et puis j’adore toujours ce surnom. Tout simplement parce qu’il date des moments où je savais que malgré nos disputes j’aurais forcement le droit à un réconfort quelque soit le problème que je pouvais avoir. Mais maintenant franchement c’est plus possible, plus du tout d’ailleurs, enfin même si j’ai quand même une certaine impression, mis à part nos différents qu’il veille en quelque sorte sur moi comme il peut et surtout inconsciemment. Combien de fois m’avait-il pris dans ses bras, m’avait-il choyée lorsque je m’étais fais mal et que nos parent n’avaient rien vu ? Je sais qu’en tant que mon frère, il sent cela comme un devoir, mais après tout moi je ne lui demande rien, même si cela m’a toujours rassuré de le savoir proche de moi. Je sais que l’on se retrouve dans la même situation l’un et l’autre. C’est-à-dire que même si nous nous évitons le plus possible depuis qu’il a pris goût à la magie noire, chose dont je lui ais plutôt fait comprendre que cela me déplaisait. Une partie de chacun d’entre nous, tout du moins une partie de moi ne peut pas s’empêcher de vouloir retrouver la complicité que nous avions enfants.

CHAPITRE TROISIEME ;
matthias looridsen



© izi-sunshine lj; quirkyrose lj; blair_graphix lj

Il parait que la famille est une des choses les plus important dans une vie, les frères et sœurs grandissant, rien de plus beau pour des parents. Peut être bien, et si les enfants avaient beau avoir eu une enfance épanouie ensemble, heureux, proches et que plus tard ils ne se supportent plus, ne peuvent pas se voir enfin en quelque sorte tout du moins. Je suis censée pensée quoi de cela moi ? Oui c’est sans aucun tout ce qu’ils se passe entre Matthias et moi, au début de notre enfance nous étions totalement, extrêmement et tout ce qui pourrait se finir en -ent- proche. Et pourtant maintenant on peut dire que c’est tout le contraire ce qui est assez étrange je l’avoue. Mais c’est çà faute, oui on peut dire que c’est enfantin de dire que c’est de la faute de l’autre. Après tout lequel des deux c’est rapproché de la magie noire ? Moi peut être ? Non mais faut pas rêver quand même là, je crois pas. « Elle est vraiment sa sœur ? » Combien de fois j’avais pu entendre ce genre de question, oui un peu que je suis sa sœur. Je suis même sa jumelle, tu ne peux pas imaginer la chance que j’ai. Et c’est moi qui dit cela, bien sur ce qui me dérange le plus c’est qu’il a cette maudite passion pour la magie noir quoi j’aime pas çà ? Non à peine, je sais juste que c’est la chose qui nous a sans aucun doute séparer pourquoi ? Quoi cela vous dérange que je ne le supporte pas ? Matthias Looridsen, c’est grave pour vous ? Pour moi non puisqu’il n’est rien d’autre que mon frère, bon bien sur quand je le vois je peux pas oublier les moments que nous avions enfants, mais c’est le principal non ? Que je me souvienne qu’il fasse parti de ma famille, même si je n’aime plus le voire, rester avec lui, lui parler tout simplement à cause de sa stupide passion, il le sait, mais rien y fait. Nous sommes dans des maisons différentes ce qui est certains, puisque nous n’avons jamais été les mêmes. Les liens du sang ne sont-ils pas censée êtres les plus forts ? Peut-être mais pas pour nous, puisque vous pouvez être certain que lorsque nous nous croisons dans les couloirs, il y des risques pour que vous nous voyez nous disputer ou autres, plutôt que nous nous parlions normalement. Enfin de tout manière c’est notre vie, cela ne vous regarde pas, je suis malencontreusement sa sœur jumelle et çà je ne peux rien y faire, comme bon nombre de chose à vrai dire. Mais pourquoi pas lutter jusqu’à ce que l’on arrive à nos fins ? Les miennes qu’elles seraient elles ? Oh il pourrait y en avoir tellement que ne pourrais vous en énumérer aucune cela prendrait sans aucun doute un siècle.

chamallow

CHAPITRE QUATRIEME ;
maxendre melburry



© Mymz; blair_graphix lj; Silk Stocking

Un ragot par-ci, un ragot par là, mais j’en ai marre je vous le jure. J’y crois pas ils ont osé le faire, enfin parler de lui et moi. Je vous promets que si je trouve l’andouille qui a fait çà je lui arrache les yeux, la langue et peut être autre chose. J’exagère ? Non pas du tout, j’aime pas vraiment les ragots, je préfère quand il y a une véritable connaissance des faits que cela soit prouvé, pas des on dit, avec çà on pourrait refaire le monde comme les si d’ailleurs. Si je n’étais pas sa sœur, bon non je ne parle pas de lui aujourd’hui, je m’énerve à cause de l’idiot qui a raconté qu’il était plausible, un tant soit peu plausible que Maxendre et moi soyons amoureux l’un de l’autre. Ce n’est pas parce que deux personne de sexe opposé s’entendent bien, qu’ils ont forcement des sentiments pour l’autre. Non mais je vous jure et puis, oui on est proche ce qui est logique, puisque j’ai grandi avec lui après tout, bon peut être que le plus étrange entre lui est moi est que contrairement à Matthias, je le vois vraiment comme un frère. Enfin c’est quelque chose de bizarre pourtant c’est comme cela, vous comprenez pourquoi je déteste les rumeurs, j’espère, parce que celle-ci est totalement stupide. Enfin quoi que ce n’est pas certain, puisque je suis certaine que bon nombre d’entre aiment désespérément ses rumeurs, une chose que je ne comprendrais certainement jamais. Vous voulez que je vous dise quoi ? Ce que je pense réellement de Max ? Alors par où je devrais commencer, il est tout à fait particulier, pourtant cette particularité fait son charme parmi un nombre conséquent de personne dans la gente féminine. Je me demande bien pourquoi d’ailleurs, pour moi sa particularité est aussi important que notre relation puisque c’est elle qui fait en quelque sorte cette relation. Bon même si nous avons nos moments de complicité intimes, n’allez rien vous imaginer c’est purement amical et fraternel, nous préférons nous retrouver seuls, à cause de vos maudits ragots. Au moins si personne nous voit il n’y aucune chance pour que quelqu’un raconte une des idées. Et puis quoi on a bien le droit après tout il vit chez moi et mes parents le considèrent comme leur fils, alors c’est mon frère vous n’avez rien à dire.

Ouais Cool bon cela veut dire que je vais peut être enfin me mettre a ma présentation. Tout du moins si je trouve le moyen de finir ma composition (je hais les conclusions).